interviews

qu'est ce que ca vous fait de recevoir un tel accueil en france?
Bill : C'est génial et c'est totalement innatendu ! Jamais on aurait pu penser qu'en chantant en allemand nous pourions séduire le public français
Tom : Ce qui me surprend le plus, c'est qu'ils connaissent les paroles de nos chansons par coeur et les chantent lors des concerts.
Bill: J' ai hâte derevenir en avril faire des grandes salles.

Comment trouvez vous vos fans françaises ?

Bill : Elles sont très enthousiastes et ont un maximum d' énergie. J'aime beaucoup leurs looks, elles portent beaucoup de noir, mais arrivent toujours à trouver des accessoires originaux et un style qui leur est propre. Vous savez que j'attache beaucoup d'importance au look, alors j'aime bien regarder comment mes fans sont habillées.

C'est vrai tu arives à voir ces détails en concerts ?...

Bill : Dans les petites salles, c'est facile. J'aime bien nouer un contact avec le public, que ce soit à travers le regard ou en leur touchant la main quand c'est possible. J'arrive même à reconnaître des gens qui reviennent régulièrement à nos concerts. Dans les grandes salles, c' est plus compliqué. Mais ce qui m' éclate, le show et l' énergie que nous donne le public.

Quelles sont vos passions en dehors de la musique ?

Bill : La réponse pour tout le monde, c' est : dormir.
Gustav : Ceci dit, j' adore faire du vélo.
Bill : Honnêtement, ma passion c' est la musique. En dehors de ça, je m' occupe de ma famille.
Georg : La musique nous comble tellemnt que l' on n' a pas besoin d' avoir d' autres hobbies. De toutes façons, nous n' avons pas le temps.
Tom : J' ai essayé le karaté, mais ça fait parties des activités que l' on essaye quand on est jeunes, et finalement il n' y a que la musique qui est restée.

Votre nouvel album sort très bientôt, comment sera t-il ?(ils parlent de ZIMMER 483.)

Bill : Il contiendra douze titres inédits, il sera très rock. Nous avons participé à l' écriture de tous les morceaux. Et nous parlons de plein de thèmes différents et de choses qui nous sont arrivées durant ces deux dernières années.

Pourquoi l' avoir appelé ZIMMER 483 ? (Chambre 483 ?)

Bill : Cette chambre existe vraiment. Elle est importante pour nous pour certaines raisons. Je ne peux pas en dire plus pour l' instant...

Est-il facile d' avoir une copine quand on fait partie d' un groupe aussi soudé ? ( La question qui interresse tout le monde lol! )

Bill : Durant ces deux dernières années, aucun de nous n' a vraiment vécu de grandes histoires d' amour. On ne peut donc pa en parler.
Tom : Ca a été plutôt de petites aventures. C' est un peu normal parce que nous ne sommes jamais chez nous.
Bill : C 'est vrai que quand l' un de nous sort avec une fille, on en parle entre nous et on donne notre avis. (Rires.)

Avec ce succès, comment ne pas prendre la grosse tête ?

Bill : Nous veillons les uns sur les autres afin que personne ne s' enflamme. Nos familles sont aussi très présentes afin que nous ne nous prenions pas pour ce que nous ne sommes pas.

si vous en voulez + rep moi !!

j'ai retrouver l'adresse de la vidéo quand ils sont passer sur france 3 !!
c des interviews dites moi si vous voulez l'adresse!!!
et vive les th !!

[b]Merci moi non plus je ne l'avait jamais vu

ah ouais ! pffff c'est un trouillard ! mdr je rigole car je l'adore (mais pas autant que bill ! mdr).
je vais essayer d'en mettre d'autres des interviews !!!

Voilà un autre interview ! Mais il date de longtemps ! lol


Tom, dans environ 2 heures, tu seras sur scène avec ton groupe Tokio Hotel dans le « Columbia », la grande salle de Berlin. Es-tu nerveux ?
Kaulitz : pas encore, la pression arrive toujours un peu avant de monter sur scène. Alors, nous devenons tous complètement nerveux, on se met à courir dans tous les sens, on boit et on va continuellement au toilettes. Nous nous transmettons mutuellement le stress.


Tu as fait beaucoup de scène. Es-tu moins nerveux maintenant que tu as l'habitude de te produire ?
Kaulitz : Non, je crois que je suis toujours nerveux avant chaque scène. C'est la même chose si tu te produis à la télévision ou si tu donnes un concert, le trac est toujours présent. Je crois cela ne changera jamais.

Depuis août 2005, tu as effectué avec Tokio Hotel une promotion incroyable, "Durch den monsun" se tenait pendant des semaines entières sur la place 1 des Charts, l'album "Schrei" était disque de platine.
Qu'est ce que ça fait de devenir célèbre du jour au lendemain ?
Kaulitz : Nous avons réalisé tellement de choses au cours de ces derniers mois. Des choses que nous nous étions jamais imaginés et beaucoup ont surpassé même nos rêves les plus audacieux. Les derniers temps ont été incroyables ! Nous ne pouvons pas du tout digérer aussi vite tout ce qui c'est passé. A présent si nous avons des journées de libres, nous décidons toujours de se raconter nos impressions. Je pense que maintenant que nous allons sur une grande tournée, nous pouvons jouer dans des grandes salles immenses où des milliers de fans nous attendent. C'est simplement fantastique !

Regrettes-tu ton ancienne vie lorsque tu allais normalement à l'école et quand tu n'étais pas assiégé par des centaines de fans ?
Kaulitz : je ne regrette absolument pas mon ancienne vie! Quand Bill et moi avons fondé notre premier groupe "Devilish", cinq ans avant, nous rêvions déjà du grand succès. . Nous voulons avancer et on ne regarde pas en arrière.


Cependant aurais parfois souhaité que la promotion avec Tokio Hotel se déroule un peu plus lentement ?
Kaulitz : Nous n'avons pas vraiment trouvé que la promotion se soit déroulé très rapidement, contrairement à ce que pense les fans.. Quand nous avons fondé "Devilish", nous nous sommes produits dans notre club habituel à Magdebourg. Alors, nous étions excités bien que nous nous soyons produits seulement devant dix personnes. Et dans ce club, nous avons aussi connu Gustav et George et c'était ainsi l'heure de naissance de Tokio Hotel. Pendant un concert, nous avons été repérés enfin par nos producteurs actuels Dave Roth, Le Pat Benzer et David Joost. Finalement tout est allé sûrement très vite, mais on ne devrait en aucun cas oublier ce temps de mise en route important avec "Devilish".


Quel est la différence musicale entre Devilish et Tokio Hotel ?
Kaulitz : le fait que nous ayons obtenu une maison de disques. Mais beaucoup de chansons, comme par exemple "leb die sekunde", nous les avions écrits à l'âge de neuf ans et naturellement, nous avons grandit donc on les a modifié pour qu'elles nous ressemblent d'avantage et aussi qu'elles retentissent aujourd'hui de façon plus professionnelle.

C'est d'ailleurs ton slogan personnel - "vivre la seconde » ?
Kaulitz : Oui, on peut dire sa ! Nous vivons le moment présent, mais tous les beaux moments essayent en réalité de mesurer toujours et de jouir. C'est aussi le sens de ce slogan !

Si le succès est au rendez-vous, les ennemis et les critiques n'en mènent également pas larges. Les critiques parlent de commercialisation habile au lieu de la qualité musicale, il y a des Hass-Websites ( sites de haine ).... Comment réagis- tu face à la critique ?
Kaulitz : En tant qu'artistes, on ne laisse en réalité que rarement la critique nous atteindre, parce qu'on ne peut pas répondre à tous les commentaires désobligeant qu'on nous assignent. En tant que groupe nous faisons simplement ce que nous avons à faire.. Nous ne condamnerions jamais quelqu'un pour sa musique simplement parce qu'il fait une musique qui ne nous plaît pas. Je trouve que sa devrait être toujours comme sa ! Il est finalement toutefois complètement normal pour nous qu'il y ai des personnes qui ne nous aimes pas et leur critique ne nous touche pas. Il y a des critiques pour tous les groupes de musique existant et cela ne nous inquiète pas tellement en réalité. En outre, nous avons énormément de Fans qui nous soutiennent fantastiquement et dont nous sommes très fiers !

La revue "Bravo" organisait récemment une action, ou vos fans pouvaient envoyer leurs photos pour devenir ainsi vos futurs amies.. Etait-il vraiment réaliste que ces filles deviennent vos petites amies ? Ce n'était-il pas plutôt pas un grand coup de pub de Bravo ?
Kaulitz : Ils ont appelé sa une « action » , alors que c'était plutôt un « speed-dating », où nous pouvions choisir les participantes sur une simple image. Nous nous sommes rencontrés, bien sur, et nous en avons discuté, mais je ne crois pas que des relations vont en naître. En plus, nous n'aurions absolument pas le temps ! Nous avons participé à cette action, parce que c'était d'une manière ou d'une autre assez amusant, mais nous ne voulons pas avoir de copine maintenant. SI jamais je tombe amoureux demain, j'en serais le premier heureux , mais je serais aussi le dernier à vouloir imposer un tel rythme à ma copine.

Seulement les filles ont espéré....
Kaulitz : Je sais que beaucoup ont pensé que nous serions casés maintenant, mais les relations sérieuse se construire au fur et à mesure du temps et pas en une heure seulement ! Si on doit apprendre à connaître la personne en une heure seulement et à un rendez-vous de « speed-dating » ce n'est pas réaliste. Aussi, je pense que de toute façon, certains ont mal compris.

Comment décrirais-tu l'image de Tokio Hotel ?
Kaulitz : Je pense qu'on ne devrait pas en principe enfermé les groupes dans des images. On peut être artistes, peu importe que ce soit à l'étranger ou en Allemagne, et ne pas être comparer, parce que chacun fait sa propre chose. L'image n'est que cela, ce qui naît de la musique, et chacun voit cela différemment. Je considère personnellement que nous en tant que groupe, ont fait de la bonne musique et que l'on se base sur nos fans qui l'apprécie.

Il est donc vrai, que tu se vois à plusieurs reprises représenté par une image dans la presse, que ne te plaît pas en réalité ?
Kaulitz : Nous sommes les mêmes dans la vie de tous les jours ou dans un journal. Nous ne nous ajustons pas pour faire plaisir au autres, nous restons simplement nous-mêmes !

Par les médias, on en connaît beaucoup sur toi.... Notamment que tu déjà eu as plus de 25 petites-amies. Comment réagi-tu face à ce mélange entre ta vie privé et ta vie public ?
Kaulitz : chacun de nous à ses frontières personnelles. Je parle plus franchement et facilement sur de tels thèmes que Bill et George, mais je peux en tout cas différencier ma vie privés et vie public. Ce m'est aussi très important !


Tu es justement en plein milieu de votre première grande Tournée avec plus de 30 concerts en Allemagne, L'Autriche et la Suisse. Comment vit-tu au quotidien ?
Kaulitz : Nous avons principalement deux shows , deux soirs de suite et un jour de libre pour se détendre et se relaxer, et alors on repart encore pour deux jours. En général nous nous levons le matin, faisons le contrôle du son, passons des entrevues, jouons le concert, dormons dans l'hôtel et allons dans la ville la plus proche. C'est souvent très stressant, mais si on est alors le soir sur la scène et qu'on entend les applaudissements, toutes les tensions sont oubliées !

Comment célébreras-tu Noël?
Kaulitz : Je serai à la maison avec Bill dans Magdeburg, dans tout le calme avec ma famille. On va manger et célébrer cette fête et alors on repartira en février pour de nouvelles dates de tournées

c'est un interview où bill nous explique l'histoire de la chanson durch den monsun
Durch den Monsun :

Bill : Après que nous ayons appris que nous devions choisir un single, nous avons réfléchi ensemble avec notre producteur à quelle chanson serait la mieux adaptée. "Durch den Monsun" est assez calme au début et devient plus rythmé à la fin et plus dur. Nous trouvions que la chanson représentait bien tout l'album ou nous avons des morceaux rapides et des ballades douces. "Durch den Monsun" raconte de plonger dans un autre monde si on a un chagrin d'amour. J'ai écrit les lignes les plus importantes de la chanson après la séparation de mon amie de cette époque-là. Ensuite j'ai compris que c'était une erreur et qu'elle me manquait.
"Durch den Monsun" raconte de retrouver l'amour perdu dans un autre monde. Et prendre tout à fait plusieurs risques et aventures seulement pour voir cette personne.
Quand Tom, Georg, Gustav et moi avons appris que la chanson était numéro un, nous avons explosé. Nous étions au milieu d'une interview et nous avons sauté en l'air et crié. Nous ne pouvions pas le prendre autrement. Nous avons fêté sa et nous avons trinqué avec nos producteurs. Je n'aurais jamais espérer que ça puisse arriver...